N’hésitez pas à multiplier les expériences gustatives avec les aromates et les épices, afin de varier les saveurs et de rendre vos préparations plus satisfaisantes pour vos papilles… et donc pour votre cerveau ! Le laurier, le thym, le romarin, la coriandre ou la cannelle parfument de longue date nos recettes, mais s’éloigner un peu des sentiers culinaires battus présente…
- 17 janvier 2014
LE CERVEAU A BESOIN DE PLAISIR.
Le cerveau oscille en permanence entre besoin et plaisir. C’est là tout l’enjeu des relations entre deux zones clés appelées noyau arqué et noyau accumbens. Le noyau arqué, qui se situe dans l’hypothalamus, fait partie du tronc cérébral, c’est-à-dire de la partie appelée à tort « cerveau reptilien », est le domaine de l’instinct. Là siège le besoin de se…
- 16 janvier 2014
LA CUISSON INFLUE SUR L’INDICE GLYCÉMIQUE DES ALIMENTS.
La cuisson peut modifier l’indice glycémique d’un aliment : les carottes passent ainsi d’un indice 30 à un indice 85 lorsqu’elles sont cuites ! Même chose pour le temps de cuisson des pâtes et du riz, qu’il vaut mieux déguster al dente !
- 15 janvier 2014
ON MANGE DAVANTAGE LORSQU’ON MANGE DEVANT LA TÉLÉVISION.
La prise alimentaire est toujours plus élevée lors d’un repas pris devant le petit écran (plus 15 % en moyenne). Chez l’homme, animal visuel, la vue prend en effet le pas sur tous les autres sens. À cette réalité physiologique s’ajoute un risque de suggestion : certains téléspectateurs allument une cigarette dès qu’ils voient un acteur fumer, d’autres tendent automatiquement…
- 14 janvier 2014
LE VIN EST LE MEILLEUR ET LE PIRE DES BREUVAGES.
Le vin est le meilleur et le pire des breuvages… Si la richesse du vin rouge en tanins antioxydants lui confère des bienfaits cardio-vasculaires, il n’en demeure pas moins une boisson alcoolisée – nous ne reviendrons pas sur les ravages bien connus de l’abus d’alcool – et un grand pourvoyeur de sucres. À savourer avec parcimonie, donc (un verre par…
Une enquête lyonnaise a montré que les repas consommés à l’extérieur comportent en moyenne 50 % de lipides : c’est beaucoup, c’est trop ! Et même lorsqu’on fait attention à ce que l’on commande, il est bien difficile de savoir ce que contient son assiette, a fortiori d’exiger l’utilisation de corps gras « sains » comme l’huile de colza ou…
- 13 janvier 2014
LES HOMMES ONT AUSSI LE FOIE GRAS.
Si nul ne peut plus ignorer aujourd’hui, au sein de nos sociétés surmédiatisées, les effets délétères de la malbouffe sur l’appareil cardio-vasculaire, on sait moins que nos mauvaises habitudes alimentaires attaquent aussi notre foie. Ainsi, quelque soixante-dix millions d’Américains souffriraient actuellement de stéatose hépatique non alcoolique, aussi appelée stéatose métabolique, NASH (nonalcoholic steatohepatitis) ou encore NAFLD (nonalcoholic fatty liver disease)…
- 12 janvier 2014
PLUS ON EST AGÉ, PLUS ON A BESOIN DE SALER ET DE SUCRER.
Le cerveau interagit directement avec les capteurs situés sur la langue. Il en existe plusieurs types, chacun spécifique à un goût (salé, sucré, gras, amer, etc.). Parmi ces capteurs, ceux voués à la détection du sucre, les capteurs Glut, communiquent directement avec le cerveau via le nerf glosso-pharyngien sans passer par la voie métabolique. On remarquera à ce sujet qu’il…
- 11 janvier 2014
UNE BONNE MASTICATION EST GAGE D’UNE BONNE SATIÉTÉ.
La mastication stimule la salivation et permet d’initier le processus de satiété et de laisser celle-ci s’installer en ralentissant la prise alimentaire. Une bonne mastication assure une durée minimale du repas, or il faut vingt minutes pour que la sensation de satiété commence à s’installer.