Le glucose constituant le principal carburant de l’organisme, notre métabolisme est évidemment capable d’en synthétiser à partir des glucides de notre alimentation, mais aussi à partir des protéines et des lipides que nous ingérons. Cette capacité représentait un atout pour nos aïeux en situation de sous-nutrition chronique. Dans le contexte d’abondance moderne, elle est devenue un handicap car notre organisme persiste à s’efforcer de « tout » transformer en glucose, sans tenir compte du sucre que nous consommons (en excès).